Cycle 4 - Intrigue
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cycle 4 - intrigue
Édimbourg. La ville qui ne semble jamais se reposer. À nouveau, le poumon de la ville se rempli d’horreur, d’effroi et d’incompréhension. D’étranges rassemblements ont lieu lors de certaines nuits. Toujours les mêmes personnes, celles que l’on dit sensible aux spectres de l’autre monde. La rumeur fait ricaner les intellectuels qui préfèrent y voir des rassemblement impies, le Malin en action, quelques âmes apeurées cherchant des réponses sensées être logique dans le domaine du surnaturel.
Pourtant, toutes les semaines, la foule grossit les abords du château de la ville. Le malaise grandit au sein de la garde. Chaque nouveau vendredi, la foule d’individus semble plus grande. Hommes du peuple, riches bourgeois, personne ne semble étranger au mal qui touche ces personnes une fois par mois. Et pourtant, chaque semaine, ils sont tous à nouveau là, s’installant au bas des remparts, levant leur nez pour observer en silence l’une des tours du château, celle qui a bien manqué prendre feu en fin octobre. Certains la pointent carrément du doigt. Il ne se passe pas l’une de ses soirées sans que l’un ou l’autre ne se mette à hurler, comme s’ils étaient à l’agonie.
La garde a eu beau essayer d’empêcher cet étrange processus, les individus ne répondent pas, continuant d’avancer vers leur objectif peu importe ce qui se dresse sur leur route, leur sens commun semblant leur avoir été enlevé. Rapidement, il a été décidé d’ignorer du mieux possible le phénomène.
Concrètement, ce que cela implique :
- Tous les vendredi soir, une partie de la population de la ville s’arrête tout simplement de vivre pour se poser au bas des remparts du château.
- Pour le moment, la garde tente d’ignorer le phénomène.
- Les personnages ayant subi une possession de rôle non-tueur souffrent de ce phénomène, toute leur nuit du vendredi au samedi sera passé à se tenir au pied du château.
- Les personnes souffrant de ce mal ne se souviennent pas de ce qu’ils ont fait à partir du moment où ils ont commencé à se diriger vers le Castel. Ils ne reprennent conscience qu’au lever du Soleil, entouré de tous les autres.
- Les personnages ayant étés possédés par le tueur se réveillent tous les samedis comme s’ils venaient de vivre la plus violente des gueules de bois de leur vie.
Par rapport aux intrigues précédentes :
- Le dé ‘Gardes’ est toujours actif.
- L’épidémie de fièvre semble avoir arrêté de se répandre en ville. Les derniers malades sont lentement en train de s’en remettre ou d’en mourir. Il est conseillé de ne pas les approcher sans masque.
Pourtant, toutes les semaines, la foule grossit les abords du château de la ville. Le malaise grandit au sein de la garde. Chaque nouveau vendredi, la foule d’individus semble plus grande. Hommes du peuple, riches bourgeois, personne ne semble étranger au mal qui touche ces personnes une fois par mois. Et pourtant, chaque semaine, ils sont tous à nouveau là, s’installant au bas des remparts, levant leur nez pour observer en silence l’une des tours du château, celle qui a bien manqué prendre feu en fin octobre. Certains la pointent carrément du doigt. Il ne se passe pas l’une de ses soirées sans que l’un ou l’autre ne se mette à hurler, comme s’ils étaient à l’agonie.
La garde a eu beau essayer d’empêcher cet étrange processus, les individus ne répondent pas, continuant d’avancer vers leur objectif peu importe ce qui se dresse sur leur route, leur sens commun semblant leur avoir été enlevé. Rapidement, il a été décidé d’ignorer du mieux possible le phénomène.
- Tous les vendredi soir, une partie de la population de la ville s’arrête tout simplement de vivre pour se poser au bas des remparts du château.
- Pour le moment, la garde tente d’ignorer le phénomène.
- Les personnages ayant subi une possession de rôle non-tueur souffrent de ce phénomène, toute leur nuit du vendredi au samedi sera passé à se tenir au pied du château.
- Les personnes souffrant de ce mal ne se souviennent pas de ce qu’ils ont fait à partir du moment où ils ont commencé à se diriger vers le Castel. Ils ne reprennent conscience qu’au lever du Soleil, entouré de tous les autres.
- Les personnages ayant étés possédés par le tueur se réveillent tous les samedis comme s’ils venaient de vivre la plus violente des gueules de bois de leur vie.
- Le dé ‘Gardes’ est toujours actif.
- L’épidémie de fièvre semble avoir arrêté de se répandre en ville. Les derniers malades sont lentement en train de s’en remettre ou d’en mourir. Il est conseillé de ne pas les approcher sans masque.
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