Cycle 4 | Défenses & votes

Ainsi donc, moi, c’est moi que vous accusés. Qu’ai-je donc faire pour faire subir en vos âmes, cette dénonciation cruelle et vile, cette accusation fourbe et malveillante, sur mon minois innocent et juvénile ? Est-ce la faute de mon sexe fendu que vous méprisez ? Mais est-ce ma faute si Dieu m’a faite femme ! –Et quelle femme, hein Earnan ? -

Est-ce le feu de ma chevelure qui vous fait offense ? Qu’y puis-je si on est roukmoute dans la famille !!! –Sauf Dam, mais on lui dira un jour qu’il a été adopté, vous en faites pas !- Ou bien, mon esprit libre de femme de mon siècle ? Non, non, NON je vous en prie ! Ne dites rien ! Observez le poignard plongé dans mon cœur –là juste entre mes boobs- et que vous avez plongé au fond de ma poitrine sans une once de tendresse, sans même un peu de compassion ! N’est-ce pas déjà assez difficile, d’être veuve, mère, et FEMME ? Oh siècle cruel, hommes ignorants, moOOOooonde tyrannique ! Moi l’innocente, la pure, la douce…si douce Kenno’cha.

Pourquoiiiiiii, mais pourquoi ? Comment aurais-je pu être cet insidieux tueur ? Alors qu’il n’a pas pu tuer. Comment aurais-je pu retenir la main de ma créatrice, avide de sang, et de mort et de yeux et de narine ! Comment ! J’aurais vogué de rp en rp, arrachant des morceaux de vous pour m’en faire un collier, une oreille, un œil, un bout de joue ! Mais…Mais rien de tout cela. Je…je ne peux pas être ce monstre que l’IRL a retenu, en plus, c’est vachement présumé de moi, d’avoir l’idée des lettres XD Sans déconner !

Et en plus je savais même pas ce qu’était un forward :D.

Mais heu…je me reprends. Comment pourrais-je être mise sur l’échafaud de la mortalité ! MOI ! Moi La chouchoute de ma créatrice !!! Car oui, je vous le dis, mon âme et mon corps sont immortels et ne sauraient souffrir d’une quelconque blessure définitive !!! En plus, ce tueur accuse Sheena d’être une petite dévergondée je crois, alors que je l’approuve cette petite! Tuons nos maris ! Libérons nous du carcan masculin, ENLEVEZ VOS CORSETS LES FILLES !!!

Bref, voilà. Vous m’excuserez de cette défense…j’ai pas trouvé mieux :D En terme de connerie. Parce que c’est pas moi et vous le savez.

Ah vous voilà donc bande de chiens galeux ! Prenez place ! Buvez ! Cela vous fera taire ! Une bonne fois pour toutes et cela nous évitera, à tous, d’entendre vos stupidités sans borne ! Que l’alcool remplisse vos gorges et vous étouffe s’il le faut, ainsi, vos fantasmes cesseront de vous pousser à l’absurdité !
Asseyez vous, vous dis-je, prenez dans une main un verre, de l’autre la croupe d’une de ces femmes sans vertus et écoutez ! Entendez donc la défense du forban, que vous croirez si vous le souhaitez, et faites donc votre choix !

Pourriez-vous imaginer un seul instant, que mon esprit soit assez subtile, alors que je ne suis que force de la nature, pour écrire ces bons mots en des missives journalistiques ? J’aime que vous me pensiez plus intelligent que je ne le suis, dans un sens, tout est flatteur et rien que le fait que vous me désignez de ce fait, prouve que vous reconnaissez ma supériorité. Que dis-je mon intellec ! SI vous m’accusez aussi. Mais ayons un peu d’honnêteté, même si ma nature m’en a dépourvu tout à fait…reconnaissons le manque de violence et de barbarie…conversez est d’un ennui, le sang chatouille mon esprit et il a clairement était prouvé que je n’ai aucune once de subtilité. Regardez Breac, ainsi que le port, estimez le carnage … je suis un monstre mais qui n’a pas besoin d’être possédé pour massacrer ! D’ailleurs, pourquoi me rendre à ce carnage sous mon véritable visage, si j’avais été cette ombre ? Je me serais jeté comme le loup parmi les moutons, pour vous dévorer et ne laissez que des cadavres ensanglantés !

Non, je vous le dis, ce cycle porte trop le sceau de la culture, l’écriture et le charme, un rien de trop précieux pour que cela soit de mon ouvrage. Je vous aurais dévoré, tout simplement au risque de me faire prendre ou deviner, j’aurais bouffer vos yeux et vos cœurs, déchiquetés vos chairs, ne laissant que des lambeaux mal accrochés. Carnassier, voilà qui j’aurais été !

Et je n’aurais pas su laisser tranquille tant de pièce de boucherie bien nourrie, des mets de choix sans scorbut ou vérole, vaillants et frais…que dis-je…un rien épais, un rien goûtu…aux muscles vaillant, à la chair fumé, au…

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