Silence is the virtue of fools {ft•Delëphaïne}
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- Faileas
- Neacal KeerMessages : 24
Points : 45
Avatar : alex høgh andersen
Crédit : Sigyn
Multicompte : Seòras Ìomharach / Lindsay Underwood
Pseudo : MillinerXIII
Taux d'abomination : Age : 26 ans
Métier : Forgeron
Pouvoirs : fétiche (5pt), Hydrokinésie (3pt), Apnée (1pt)
Inconvénients : Syndactylie aux mains, L'appel de la mer, Désastres nautiques, Gout du sang
Do not stand at my grave and weep. I am not there. I do not sleep. Do not stand at my grave and cry; I am not there. I did not die.
I’m about to make it clear, It’s going down like I told you. I’m the baddest mother up in here. I’ll have you beggin’ for mercy. I’m dangerous, so dangerous.
A la cathédrale des couilles sonne le glas des bourses. D’ce coté, on dévisage, on observe, certaines sourient et s’agitent tandis que l’petit s’avance. Lui, qu’on connait, qu’on r’connait, qu’on dévisage. C’lui qu’on pensait crevé, enfuis, que’que chose en tous les cas, l’vla d’retour. On sait, on devine qu’l’impératrice d’la taule va l’recevoir, tout dépendra d’l’affection qu’il collera à son retour. Certaines pensent à une mandale, d’son absence, d’autres à peine un r’gard, pis encore, attendent juste d’voir. Mais ils attendent quoi ? Bonne question. La Dame putassière est maîtresse d’ses changements, personne sait comment elle peut s’endimancher. Un coup elle vous f’ra une chose, un coup une autre, tout s’compose d’surprise.
Elle porte l’apparat d’la salope payée, d’ces dentelles, tout s’tient parfaitement sur son cuir tout en rondeur. Les courbes s’enjolivent dans l’bleu d’dessous gourmand, l’corsage qui expose son poitrail d’rêve, qu’les bons messieurs d’son univers dévisagent, comme s’ils allaient leur soutenir l’regard. L’voilage qui cache c’qui d’vrait être dans ses pudeurs dissimulent juste assez les promesses à la pitrerie, alors qu’une tignasse noire bouclent le long d’son dos. Elle s’marre et ricane avec un fidèle, apôtre du cul et du cuir, besogneur amoureux, qui satisfait tout entier son besoin affectif. Faut dire qu’Beatan est aussi peu présent qu’les anglais sont trop là, encore. Mais pour sûr la chose finirait par tourner.
Elle s’laisse dorloter et offre des tendresses, ignorante d’c’qui arrive, et l’corps du bonhomme dans les r’coins du sien, l’interruption lui tire un grognement de non satisfaction. V’la qu’on la dérange dans ses moments qui lui sont siens et elle arrête pourtant l’bougre qui lui affectionne l’coup, alors qu’on prononce un prénom. Un seul. Faut dire, c’petiot elle l’connait, sans elle, y s’rait pas né. Sans l’tapin d’sa mère, l’accord pour son père, tout c’genre d’chose, sans parler d’ces dettes qui lui doient et qu’il pourrait rembourser probablement quand il serait mort…
Y f’rait un excellent puit d’foutre, le bougre, dans cette taule, car les bonshommes s’multiplient dans les plaisirs, faut croire qu’le siècle s’accorde aux sodomites, s’il voulait, il pourrait rembourser sa dette avec son cul. Mais il semble point disposer à la chose, pis bon, il lui manque un air plus fin pour réellement conv’nir, que’que chose d’délicat qu’son faciès brusque offre pas. Mais est-ce bien le blem ? L’tout c’qu’il lui doit d’la thune, et qu’sa disparaition l’a faite gronder, mais alors qu’elle bazarde l’type à sa meilleur gagneuse, elle s’rajuste pour l’voir débarquer.
Est-ce qu’on peut dire qu’il a d’la chance, d’être en que’que sort, un petiot de la taule ? Car oui, il est fils d’putain d’ce domaine et ça en fait, un peu, un gosse à la Délè, mais ça, il a pas b’soin d’le savoir. Y devrait juste s’contenter d’penser qu’il a la donzelle en face, et qu’il lui doit d’la thune. Pourtant, il a cette petite exception qui lui donne des droits…comme c’baise main.
Foutrement navrant qui soit bougre, il aurait pu aussi remboursé sa dette bien autrement, dans des draps d’putain et des soupirs. Mais soit. Elle sait d’ses préférences, il s’cache pas, un jour, c’la lui tomberait sur l’coin d’la gueule d’point trop s’tenir, t’être même par la faute d’la putain, mais si ça arrangeait ses affaires, elle aurait point d’rate sur le sujet. Elle dévisage l’beau jouvenceau sous ses lorgnettes, hautaine, mauvaise t’être même au bord d’la cruauté. Pas question d’lui montrer sa colère, celle d’pas avoir su sa vie ou sa mort, encore moins, l’fait qu’elle s’est souciée. Non, la Délè est pas comme ça, elle est…toute une histoire, une image, un monument qui s’fragilise pas pour ses préférés.
Pourtant…
Ses yeux suivent les cicatrices, ses lèvres joliment peintes comme la mode des chinoises, elle r’lève la tête. « Qui t’as fait ça ? Qu’j’lui cause… » Elle lâche ces mots comme ça, parce qu’faut être honnête, on touche point à des personnages qui sont siens, elle trouverait bien comment faire payer aux malhonnêtes la chose. Elle jette son visage pour lui faire piger d’s’installer. « Prends la gnôle. »Y connait l’endroit comme sa poche, alors, elle laisse faire… « Tu m’dois encore beaucoup, j’suppose que j’ai pas besoin d’te le rappeler. » Oui bon visiblement il a payé son absence, mais oublions pas l’principal, une manière d’passer l’affaire, sa thune il lui tendrait, elle compterait, on verrait si ça suffirait. Autant dire que rien n’est trop sûr….
Elle porte l’apparat d’la salope payée, d’ces dentelles, tout s’tient parfaitement sur son cuir tout en rondeur. Les courbes s’enjolivent dans l’bleu d’dessous gourmand, l’corsage qui expose son poitrail d’rêve, qu’les bons messieurs d’son univers dévisagent, comme s’ils allaient leur soutenir l’regard. L’voilage qui cache c’qui d’vrait être dans ses pudeurs dissimulent juste assez les promesses à la pitrerie, alors qu’une tignasse noire bouclent le long d’son dos. Elle s’marre et ricane avec un fidèle, apôtre du cul et du cuir, besogneur amoureux, qui satisfait tout entier son besoin affectif. Faut dire qu’Beatan est aussi peu présent qu’les anglais sont trop là, encore. Mais pour sûr la chose finirait par tourner.
Elle s’laisse dorloter et offre des tendresses, ignorante d’c’qui arrive, et l’corps du bonhomme dans les r’coins du sien, l’interruption lui tire un grognement de non satisfaction. V’la qu’on la dérange dans ses moments qui lui sont siens et elle arrête pourtant l’bougre qui lui affectionne l’coup, alors qu’on prononce un prénom. Un seul. Faut dire, c’petiot elle l’connait, sans elle, y s’rait pas né. Sans l’tapin d’sa mère, l’accord pour son père, tout c’genre d’chose, sans parler d’ces dettes qui lui doient et qu’il pourrait rembourser probablement quand il serait mort…
Y f’rait un excellent puit d’foutre, le bougre, dans cette taule, car les bonshommes s’multiplient dans les plaisirs, faut croire qu’le siècle s’accorde aux sodomites, s’il voulait, il pourrait rembourser sa dette avec son cul. Mais il semble point disposer à la chose, pis bon, il lui manque un air plus fin pour réellement conv’nir, que’que chose d’délicat qu’son faciès brusque offre pas. Mais est-ce bien le blem ? L’tout c’qu’il lui doit d’la thune, et qu’sa disparaition l’a faite gronder, mais alors qu’elle bazarde l’type à sa meilleur gagneuse, elle s’rajuste pour l’voir débarquer.
Est-ce qu’on peut dire qu’il a d’la chance, d’être en que’que sort, un petiot de la taule ? Car oui, il est fils d’putain d’ce domaine et ça en fait, un peu, un gosse à la Délè, mais ça, il a pas b’soin d’le savoir. Y devrait juste s’contenter d’penser qu’il a la donzelle en face, et qu’il lui doit d’la thune. Pourtant, il a cette petite exception qui lui donne des droits…comme c’baise main.
Foutrement navrant qui soit bougre, il aurait pu aussi remboursé sa dette bien autrement, dans des draps d’putain et des soupirs. Mais soit. Elle sait d’ses préférences, il s’cache pas, un jour, c’la lui tomberait sur l’coin d’la gueule d’point trop s’tenir, t’être même par la faute d’la putain, mais si ça arrangeait ses affaires, elle aurait point d’rate sur le sujet. Elle dévisage l’beau jouvenceau sous ses lorgnettes, hautaine, mauvaise t’être même au bord d’la cruauté. Pas question d’lui montrer sa colère, celle d’pas avoir su sa vie ou sa mort, encore moins, l’fait qu’elle s’est souciée. Non, la Délè est pas comme ça, elle est…toute une histoire, une image, un monument qui s’fragilise pas pour ses préférés.
Pourtant…
Ses yeux suivent les cicatrices, ses lèvres joliment peintes comme la mode des chinoises, elle r’lève la tête. « Qui t’as fait ça ? Qu’j’lui cause… » Elle lâche ces mots comme ça, parce qu’faut être honnête, on touche point à des personnages qui sont siens, elle trouverait bien comment faire payer aux malhonnêtes la chose. Elle jette son visage pour lui faire piger d’s’installer. « Prends la gnôle. »Y connait l’endroit comme sa poche, alors, elle laisse faire… « Tu m’dois encore beaucoup, j’suppose que j’ai pas besoin d’te le rappeler. » Oui bon visiblement il a payé son absence, mais oublions pas l’principal, une manière d’passer l’affaire, sa thune il lui tendrait, elle compterait, on verrait si ça suffirait. Autant dire que rien n’est trop sûr….
- La Délè
- Delëphaïne O’HayreMessages : 117
Points : 135
Avatar : Beth Ditto
Crédit : Siid
Multicompte : Keith MacBain - Alec Craft
Pseudo : Carmilla
Taux d'abomination : Age : 38 ans
Métier : Maquerelle "A la taule des sonnettes"
Pouvoirs : Beauté (1) - Charisme (1) - Fin limier (1) - Apnée longue durée (1) - Fétiche (5)
Inconvénients : Fort besoin affectif - Matérialisme excacerbé - Appel de la mer - Désastre nautique - Syndactylie (pieds)
"Sur mon lit calciné
Lascive et si cruelle
Comment pour m'invoquer
Faut-il que l'on m'appelle ?
Mes diables et mes hommes
Et Dieu même en personne
Tout simplement me nomment :
« Patronne »"
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