1762 - L'été de l'année dernière, Édimbourg, Écosse. Les vagues frappaient contre la rive en un bruit constant et répétitif, comme une douce berceuse chantée par la mer du nord, une caresse légère sur votre front, un tendre baiser rassurant de la nature. Tout indiquait un matin normal sur les quais du port de Leith, si ce n’étaient les corps inertes qui flottaient comme des billots de bois mou abandonnés. Six corps. [...] Lire plus.
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Secrets d'histoire

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Message par Niseag Mar 9 Mai - 20:19


Secrets d'histoire
Faits historiques sur l'époque


Mise en contexte rapide
La ville d’Édimbourg
Le mariage
L’homosexualité
Les femmes
Vêtements
Armement
Santé
Climat intellectuel
Alimentation
Import / export / transport
Politique
Économie
Autour de la ville
Highlanders
Faune / Nature  
Météo

L'annexe n'a pas répondu à toutes tes questions, de même que tes recherches personnelles ? N'hésite pas à venir les poser sur le sujet entraide historique, peut-être qu'un autre membre pourra t'aider  Secrets d'histoire 2898385925




Siècle des lumières:  1715 - 1789
Les lumières Écossaises : 1730 - 1800

-> Ici la carte d'Édimbourg en 1764

La révolution française de 1789 est généralement considérée comme l’aboutissement du siècle des Lumières marquant la transition entre les périodes classique et néo-classique. Pourtant, le siècle des Lumières écossais tend à durer un peu plus longtemps après la fin du 18e siècle.

Entre 1688 et 1746 : Les rébellions jacobites sont une série de soulèvements, de rébellions et de guerres se déroulant dans les îles Britanniques. Leur objectif commun était de ramener Jacques Stuart, VII d'Écosse et II d'Angleterre (le dernier roi catholique de la monarchie britannique), et, plus tard, ses descendants de la maison Stuart, sur le trône dont ils ont été privés par le Parlement après la Glorieuse Révolution de 1688. Ces révoltes tirent leur nom du jacobinisme, dont les membres sont composé de ceux qui soutenaient la dynastie détrônée des Stuarts et considéraient comme usurpateurs tous les rois et les reines britanniques ayant régné pendant cette période.

La majorité des insurrections ont été qualifiées de rébellions jacobites par les gouvernements en place. La première et la seconde rébellion jacobite étaient alors nommées respectivement « le Quinze » et « le Quarante-Cinq », en référence aux années où elles se sont tenues (1715 et 1745). Bien que ces révoltes soient des événements à part entière, elles sont cependant à intégrer dans une série de plus importantes campagnes militaires européennes visant à restaurer les Stuarts sur les trônes d'Écosse et d'Angleterre.

1746 : Bataille de Culloden - Marque l'échec du quatrième des débarquements royalistes en Écosse, après ceux de 1692, 1708, et 1715, et la fin des espoirs de restauration de la lignée des Stuarts sur les trônes d'Écosse et d'Angleterre, avec la fuite du prince Bonnie Charles réduit à implorer l'aide de la jeune Flora McDonald. Elle s'accompagne d'une intensification de la pression contre le mode de vie traditionnel des Highlanders (incluant les clans, les tartans et même la cornemuse).

Les autorités britanniques agissent de manière à supprimer le plus rapidement possible la culture traditionnelle écossaise. Porter du tartan ou de jouer de la cornemuse est interdit.

1750–1763 : Diminution de la population, forcée à l’exil à cause du changement de statut de leurs terre (pour l’élevage de mouton). Exil vers la Virginie, Caroline du Nord + Sud, puis le Québec et la Nouvelle-Écosse.






La ville d'Édimbourg


  • Il y a un peu moins de 60 000 habitants.
  • Daniel Defoe, écrivain britannique connu pour son roman Robinson Crusoé, a écrit à propos d’Édimbourg : « il n'existe aucune cité au monde où tant de personnes vivent dans de si petites chambres ».
  • Se construisent les premières versions du gratte-ciel avec des bâtiments de 11 à 14 étages. Ces immenses immeubles sont érigés de bric et de broc en porte-à-faux au-dessus des ruelles étroites.
  • « Auld Reekie » (« la vieille enfumée »), est le petit nom gaélique affectueux donné à la ville d’Édimbourg pour se plaindre du nuage de fumées noires et malodorantes provenant du chauffage des maisons qui la recouvrait et rendait l’air irrespirable.
  • Le poète Thomas Gray présente Édimbourg comme étant à la fois « la plus pittoresque et la plus répugnante des capitales »
  • Il y a de nombreuses maisons de nobles et de marchands au centre ville.
  • L’architecture est globalement néo-classique
  • La ville est en partie fortifiée (le Flodden Wall)
  • Les grandes artères et rues principales sont pavées et éclairées par des lampes à l’huile ou des bougies.
  • Tous les jours, il y a un marché extérieur sur les artères principales pour acheter divers biens et nourriture (qui vient des fermiers et maraîchers à l’extérieur de la ville).
  • Édimbourg s'enrichit grâce à une forte et nouvelle industrialisation.
  • L’industrie du textile s’améliore grâce à l’invention d’une machine à vapeur plus efficace (beaucoup de tisserands, fileurs, etc.)
  • C’est également un centre important pour le commerce du livre écossais : le taux d'alphabétisation des habitants est très élevé. Elle est le centre de l'édition de livres, de pamphlets et de journaux en Écosse.
  • Il y a près de 27 imprimeries en ville entre 1740 et 1778.
  • Il existe l’Infirmerie Royale, un observatoire et de nombreuses Medical School.
  • La ville est réputée pour ses établissements scolaires et universitaires.
  • Edimbourgh Town Guard sert de police et de surveillance.
  • Le château d’Édimbourg est en partie utilisé comme prison et sert surtout à des fins militaires.
  • Lorsque l’on entend crier "Gardy Loo!" (“Gare à l’eau” en français qui a donné l’écossais “Gardy loo”), c’est que quelqu’un lance ses déchets et excréments par la fenêtre.
  • La majorité est à 14 ans (pour se marier, relations sexuelles, droits, biens , etc.)
  • Une petite minorité de la population vit dans le luxe.
  • Les artisans et les travailleurs vivent dans 2 ou 3 chambres. Les personnes les plus pauvres vivent dans une seule pièce avec un mobilier très simple.
  • Les aristocrates fortunés se construisent de grandes maisons en campagne ou à l’extérieur de la ville.
  • L'élite de la classe moyenne est composée d’avocats et de théologiens, ainsi que de professeurs, intellectuels, médecins, scientifiques et architectes qui dominent la zone urbaine.
  • Édimbourg possède un taux de natalité élevé, mais aussi un taux de mortalité infantile et un taux de mortalité générale important.
  • Le port de Leith est passablement indépendant et entouré de docks, d’enclos et d’endroits pour stocker la nourriture pour la ville. On y retrouve bien sûr le nécessaire pour la vie navale.


Mariage


  • Entre 24 et 26 ans pour les femmes et 27 et 28 ans pour les hommes.
  • En Écosse, les hommes et les femmes peuvent présenter une demande de divorce généralement en raison de l’adultère du partenaire ou de son départ du domicile conjugal.
  • Seuls les mariages princiers ou aristocratiques peuvent parfois être conclus entre de très jeunes gens afin d’assurer une union dynastique.
  • L’importance du célibat. À n’importe quel moment au 18ème siècle, environ 60 % des hommes et des femmes ne sont pas mariés ;  soit ils ne le sont pas encore, soit ils sont veufs ou veuves, soit ils ne sont pas destinés à l’être.
  • Les femmes célibataires dépassent souvent en nombre leurs homologues masculins.
  • Il n’y a pas de règlement formel qui place les femmes célibataires de plus de 21 ans sous la protection d’un parent masculin, mais en pratique, les femmes plus jeunes sont considérées comme étant sous le conseil de leur père, d’un frère, d’un oncle ou d’un autre parent mâle.
  • En vertu de la loi du Mariage Act de 1753, toute personne de moins de 21 ans a besoin de la permission parentale pour se marier.
  • Les femmes conservent leur nom de famille au mariage et les mariages sont destinés à créer des alliances entre les groupes de parents, plutôt qu'un nouveau lien de parenté qui réunit deux familles ensemble.


L'homosexualité


  • Toujours condamnable par la peine de mort (sodomie), l’homosexualité devient lentement un « goût » plutôt qu’un vice. Cela anime de nombreux débats philosophiques (pour et contre). On voit émerger dans certaines grandes villes (comme Londres ) des maisons closes pour hommes seulement, mais l’homosexualité reste cachée, secrète et surtout dépréciée de la grande majorité des gens.


Les femmes


  • Les femmes plus pauvres vont étudier dans les Dame School afin d'être formées par une veuve ou une soliste à la lecture, la couture et la cuisine (la Dame school est une forme précoce d’école primaire privée où des femmes enseignaient souvent de leur résidence).
  • Elles apprennent la lecture, la couture et le tricot, mais pas l'écriture. Les taux d'analphabétisme féminins basés sur les signatures chez les travailleuses sont d'environ 85% pour les femmes de toutes les classes sociales en 1750, contre 35% pour les hommes.
  • La femme est exclue des sociétés savantes, des universités et des professions érudites. Les femmes éduquées sont soit autodidactes, soit ont eu des tuteurs ou l'éducation d'un père à l'esprit libéral.
  • Les femmes érudites font aussi partie de l'élite sociale, exception faite des filles d'artisan (même celles qui assistent leur père au travail).
  • Les femmes ne sont jamais invisibles dans les Lumières mais leur participation est limitée par le genre.
  • Les femmes riches mariées se concentrent habituellement sur la gestion du ménage et celles plus bas dans la société vont travailler avec leurs maris.
  • Au 18ème siècle, l’accouchement est un événement principalement féminin, avec des voisins et des sages-femmes. Cependant il est de coutume que le père soit présent dans ou près de la chambre d'accouchement pour affirmer, même dans les cas de naissance en dehors du mariage, sa paternité.


Vêtements


  • Les hommes portent des pantalons aux genoux en laine et des longs bas. Ils portent également des gilets, des manteaux en soie et des chemises de lin.
  • Le tricorne pour les hommes est populaire ainsi que les chaussures bouclées.
  • Les femmes portent un corset de coton avec des baleines et des jupons boutonnés sous leurs robes.
  • La femme ne porte pas de sous vêtements. C’est la femme de mauvaise vie ou encore la chasseresse qui portent des caleçons.
  • Les femmes à la mode ont un éventail.
  • La mode était très importante pour les riches au 18ème siècle.
  • Si une dame sort de chez elle, elle porte un chapeau ou une coiffe. Si un homme sort de chez lui, il doit porter un chapeau. Au 18ème siècle, seules les personnes mal éduquées sortent tête nue (pas de chapeau pour les soirées… Bien entendu). De même les femmes se coiffent de bonnets, fichus, coiffes ou encore cornettes.
  • La civilité impose d’être coiffé, sinon c’est un manque de respect pour les gens que vous allez croiser. Les cheveux sont rarement laissés libres mais les coiffures ne sont pas obligatoirement compliquées.
  • Pas de barbe ou de moustache, ou très peu (ce n’est pas à la mode).
  • Ce sont les 3/4 des travailleurs qui sont habillés de laine au début du siècle et c'est en moyenne plus de 50% de la population qui en est vêtue. La soie et le coton ne sont que peu utilisés, car ils sont chers et fragiles. Ces tissus sont réservés à l'élite, de sorte que les vêtements des pauvres sont rigides alors que la noblesse a des vêtements beaucoup plus souples et légers.
  • La petite bourgeoisie a autant de vêtements faits à base de laine que de soie.
  • L’aristocratie porte des vêtements de couleurs sombres alors que le restant de peuple porte des vêtements très colorés.
  • En 1760, les "corsets" sont ce qu'on appelle en anglais des "stays" qui ne compressent pas spécialement la taille et sont en fait très peu utilisés. Les silhouettes extrêmes ne sont pas obtenues en compressant la taille mais en rembourrant les hanches et en utilisant les manches pour agrandir les épaules. Leur utilité principale est de faciliter le port des vêtements féminins qui sont très lourds (plusieurs couches de jupes, etc.) en stabilisant le dos. Ils ne sont pas douloureux et surtout dans le cas de la classe aristocratique/bourgeoise, sont faits sur mesure et donc confortables. L’idée n'est pas de réduire la taille : c'est plus des gaines et un support pour les vêtements qu'autre chose. Les fabricants de corsets et les lanceurs de cette mode étaient des femmes parce que le sous-vêtement aidait a la stabilité et au confort.
  • LE KILT : INTERDICTION DU PORT JUSQU’AU 19EME SIÈCLE !


Armement


  • L'Act of Proscription de 1746 ( loi qui interdit le port d'armes ou tout symbole Écossais, pour " assurer la paix" ) est un retraitement du Disarming Act de 1715, avec des châtiments plus sévères et appliqués. Les punitions ont commencé avec des amendes et des peines de prison jusqu'à l'acquittement des dettes ainsi que la possibilité de conscription obligatoire pour retard de paiement.
  • L’escrime a tendance à devenir plus un sport prisé plutôt qu'un simple entrainement militaire.
  • Le combat à l’épée reste tout de même un art de tuer.
  • Certains règlements de comptes étaient disputés aux combats à mort, illégalement.
  • Le port du fusil a silex et du pistolet est réservé à la garde royale et aux militaires.


Santé


  • La peste, le typhus ou le choléra sont présents dans la vie quotidienne de la population écossaise. Il y a également des cas de tuberculose et de variole.
  • La clinique s'intéresse avant tout au siècle des Lumières au signe perçu et non au signe provoqué. C'est-à-dire qu'on soigne les symptômes et non la maladie. L’inspection du malade, la palpation, ses dires, la vue de ses urines ou des autres excrétas, la considération du mode de vie de l’individu ou des individus étudiés, l’environnement, tout ceci constitue la majeure partie des éléments non pas du diagnostic, mais de l’ensemble pathologique possible dans laquelle la santé de l’individu se situe.
  • Une autre particularité de ce siècle est de présenter encore une unité du secteur social et sanitaire.
  • Dans une certaine mesure, la médecine légale est déjà pratiquée.


Climat intellectuel


  • L'accès aux universités écossaises est probablement plus ouvert qu'en Angleterre, en Allemagne ou en France contemporaine. La fréquentation était moins coûteuse et le corps étudiant était plus socialement représentatif.
  • L'un des piliers centraux du siècle des Lumières écossais est la connaissance scientifique et médicale. Il y une présence remarquable de professionnels formés à l'université, spécialement les médecins, les apothicaires, les chirurgiens et même les ministres, qui vivaient dans des milieux provinciaux.
  • Édimbourg est un important centre d'enseignement et de recherche médicale.
  • Les trois principales préoccupations des philosophes écossais étaient la philosophie morale, l'histoire et l'économie.
  • L'un des premiers et les plus importants club de la ville était le Political Economy Club, visant à créer des liens entre les universitaires et les marchands. D'autres clubs à Édimbourg comprenaient The Select Society, formé par le jeune Allan Ramsay, un artiste éminent et les philosophes David Hume et Adam Smith et, plus tard, The Poker Club, formé en 1762 et nommé par Adam Ferguson pour "Poke up" sur le problème de la milice urbaine.
  • Il existe également le Belles lettres Society et le Cape Club (fréquentés par des artistes, musiciens et imprimeurs).


Alimentation


  • Ce sont les voyages et les explorations qui amènent de nouveaux ingrédients en Écosse : les pommes de terre, la farine de blé, le café, les citrons, les épices, le thé et le sucre.
  • La viande est un luxe. Toutes les parties d'un animal sont utilisées.
  • Les pauvres en ville se nourrissent principalement de pain, de pommes de terre, de sucreries, de confitures et d’alcool (notamment le Gin) qui sont très populaires à l'époque.
  • Il est commun de boire du thé, toutes classes confondues.
  • Il y a peu de produits frais en ville.
  • Le pain est fait d’avoine ou d’orge. Le blé est généralement difficile à cultiver en raison du climat humide.
  • Les gens ordinaires de l'Écosse n’ont pas une diète très variée. Les aliments communs comprennent du pain, du porridge, des ragoûts et des soupes épaisses appelés potages.
  • Édimbourg étant une ville portuaire, le poisson fait aussi partie intégrante de l’alimentation.
  • Le miel est utilisé pour adoucir les aliments. Certaines personnes avaient des vaches pour le lait et des poulets pour les œufs.
  • Le chou, les haricots, les pois et les oignons sont couramment utilisés. Les noix, les fruits et les baies recueillis dans les bois complètent le régime des pauvres, mais une mauvaise récolte ou un mauvais hiver signifient souvent une famine.
  • Les plus riches ont un régime plus varié. Ils sont les seuls à pouvoir chasser sur leurs terres (sangliers, lapins, chevreuils, oiseaux de chasse).
  • Le sel est considéré comme un signe de richesse car il est extrêmement cher.


Import / export / transport


  • Le réseau routier est encore inégal, ce qui signifie qu'il est difficile de transporter des produits frais à la ville.
  • Le commerce maritime fournit initialement aux colonies des produits manufacturés et se concentre sur le commerce du tabac, en réexportant en Écosse.
  • North bridge : Une diligence tirée par quatre chevaux relie Glasgow trois fois par semaine.
  • Des liaisons de diligences pour Londres sont instaurées. Il faut deux semaines pour se rendre à Londres.


Politique


  • L'union avec l'Angleterre en 1707 signifie la fin du Parlement écossais et de l'indépendance. Les parlementaires, les politiciens et les aristocrates se sont installés à Londres. Le droit écossais, cependant, est entièrement distinct du droit anglais, de sorte que les tribunaux du droit civil, les avocats et les juristes restent à Édimbourg.


Économie


  • Le changement majeur dans le commerce international est l'expansion rapide des Amériques en tant que marché.
  • Les commerçants qui s'occupent du commerce de tabac sont devenus de riches seigneurs qui dominent la ville pendant la plus grande partie du XVIIIe siècle.
  • L'émergence de la Royal Bank of Scotland (1727) et de petites banques locales permettent de mettre du capital disponible pour les entreprises et l'amélioration des routes et des échanges commerciaux.


Autour de la ville


  • Quelques miles au nord se trouve le port de Leith, un bourg séparé consacré au commerce et à la pêche, dont les fortunes sont liées à la capitale, en particulier grâce à la fourniture de produits de luxe en provenance d'Europe et au-delà. Tout autour se trouvent les laiteries et les jardins qui fournissent la nourriture.
  • L'intimité sociale est une caractéristique de la vie communautaire à Édimbourg tout au long de la première moitié du 18ème siècle. Les riches et les pauvres vivent à proximité et les gens de différentes fortunes sont mélangés.
  • Les habitants fréquentent également les auberges et les tavernes, ainsi que les nombreux clubs et sociétés qui ont prospéré dans les «Lumières». Malgré les rigueurs du climat et l'état notoirement sale des rues de la ville, une grande partie de la vie sociale et commerciale d’Édimbourg est menée à l'extérieur, au marché et dans les endroits communautaires.


Highlanders


  • Jusqu'à la fin du 18ème siècle, les Highlands sont une région pauvre et traditionaliste, peu influencée par les Lumières écossaises et la Révolution industrielle qui secouent les Lowlands.
  • C'est traditionnellement la partie gaélique de l’Écosse.


Faune / Nature


  • 75 % du territoire écossais est comptabilisé comme terres agricoles.
  • Environ 14 % de l'Écosse est recouverte de bois.
  • Les landes, bruyères et tourbières recouvrent 17 % du territoire écossais.
  • Il y a plus de 30 000 lochs et 6 600 rivières.
  • Les mers écossaises sont parmi les plus riches du monde au niveau biologique. Elles abritent un tiers des espèces de baleines et de dauphins du monde.
  • Soixante-deux espèces de mammifères vivent à l'état sauvage en Écosse, dont treize dans les eaux du littoral.


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